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  Christine LARA entre Lettres et mots

Parutions

Christine LARA, auteur

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      PARUTIONS                                                        20431250 10155594362115859 4856296010916102254 n    


Parution de "Une Vie de M..." aux Editions Orphie

Roman

 

 

Une vie de m

 

Une Vie de Merde retrace à la première personne, la vie d'un homme ordinaire semblable à tant d'autres.

 

 

 Il recherche comme chacun, le bonheur simple. Ce n'est qu'à la fin du roman que le but de sa vie lui semble évident. Entre amour passionnel et amour fraternel les pages suivent son développement psychologique, moral et émotionnel. A chaque période de sa vie, il est confronté à la perte, à la douleur, à l'abandon à tel point qu'il abandonne souvent avant de l'être. L'intérêt de ce roman, au-delà du récit, réside dans l'analyse faite par le personnage de la politique, de la société, de la religion, des hommes, des sentiments, de l'existence et de l'éducation : un regard réaliste de l'autre côté du miroir. Un roman pessimiste mais ouvrant sur une réflexion existentialiste moderne. Le héros n'en est pas un, du moins pas selon les critères antérieurs au XXe siècle. Il est trop ordinaire, sans envergure, trop humain, trop brisé. Il se redresse pourtant après chaque chute. Mais son destin est déjà tracé par et dès sa naissance.

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Parution prochaine de l'ouvrage pédagogique: Enseigner en Brousse Calédonienne

Extrait de la préface
[…] J’ai enseigné deux ans au collège de Canala et c’est vrai que ce laps de temps aurait été insuffisant pour prétendre écrire un ouvrage sur l’enseignement en brousse si je ne mettais pas appuyée sur les recherches et les mémoires des étudiants calédoniens, les travaux, les enquêtes, et les analyses réalisés par des thésards et des chercheurs, si je n’avais exploité les statistiques de l’INSEE de la Nouvelle-Calédonie, celles de la DEPP, de l’ANLCI, et si certains chefs d’établissement et responsables de services du vice-rectorat de Nouvelle-Calédonie ne m’avaient fourni des documents édifiants et enfin si le personnel des archives de la Nouvelle-Calédonie ne m’avait si bien aiguillée lors de mes recherches.
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Mon propos se limitera à la brousse calédonienne qui rencontre le plus de difficultés compte tenu d’un contexte historique, social, politique et géographique particulier. […]
Présentation de l’ouvrage Des dizaines d’ouvrages traitent de pédagogie et de didactique en Nouvelle-Calédonie, s’intéressant plus ou moins au cas des élèves de la brousse calédonienne mais peu traitent de l’enseignement en brousse avec cette vision que l’on peut qualifier d’interne et d’externe à la fois. Interne parce qu’il s’agit d’un compte rendu d’une expérience professionnelle réelle en brousse calédonienne et externe car c’est un regard venu de l’extérieur, un regard exercé par des années d’enseignement en métropole, en Guadeloupe, en Polynésie dans des contextes socio-culturels très différents les uns des autres.
C’est une conception qui se détache le plus possible de la course aux néologismes et aux terminologies qui donne trop souvent aux ouvrages didactiques cet aspect rébarbatif, précieux et inutilisable par tous, et parfois même par les enseignants, les premiers concernés.
Ouvrage donc moins académique et moins théorique qui se penche sur des constats, des réalités plaisantes ou déplaisantes et propose des pistes de réflexions adaptables, réelles et
concrètes aux enseignants.
Notre propos tend à fournir aux enseignants et aux responsables de l’éducation des pistes de réflexion sur l’enseignement en Nouvelle-Calédonie, ses atouts, ses faiblesses, certaines raisons de ses faiblesses et des possibilités éducatives. Quand, en Nouvelle-Calédonie la JCD dénombre plus de 4000 jeunes en situation d’illettrisme, et pointe les faiblesses de l’enseignement, alors, qu’il y ait eu des dizaines ou des centaines d’ouvrages n’entrave en rien ce projet.
Nous sommes chercheur en pédagogie et notre avantage et sans doute notre intérêt aussi, résident dans le fait que nous soyons sur le terrain et donc en situation d’observation, d’analyse et d’expérimentation quotidienne. Nous avons les moyens de constater les échecs, les réussites, l’évolution du système scolaire dans certaines régions de métropole ou d’outre-mer et parfois de proposer des solutions plus ou moins efficaces en fonction des besoins réels des élèves.
L’échec scolaire n’est pas une fatalité mais une mauvaise utilisation des compétences et savoirs des élèves. De nombreux chercheurs s’intéressent à l’école dans les départements, les collectivités,
les pays d’outre-mer et c’est tout à leur honneur mais combien d’entre eux ont vécu cette école coloniale de l’intérieur, ont « hérité » et partagé cette vision de leurs parents, leurs grands-parents, à travers le vécu et l’histoire ? Ce problème scolaire n’est pas seulement un thème de recherche ou d’enseignement, c’est la réalité connue par le peu de chercheurs d’outre-mer
engagés dans cette recherche d’une école plus adaptée à l’identité des apprenants des anciennes colonies. Quand on cerne un problème et qu’on le nomme il est plus facile de trouver une solution.
L’hypocrisie (démagogie ou diplomatie) a trop longtemps perduré et est une cause de cet échec mal défini ou dont les vraies raisons sont tues ou niées. Certains chercheurs s’arrêtent plus aux
terminologies qu’à la réalité des difficultés auxquelles doivent faire face les jeunes ultra-marins. […]  Par ailleurs les solutions proposées, les remédiations offertes peuvent remettre en question des théories sur l’éducation, des thèses de chercheurs, des comportements d’enseignants mais si l’on veut circonscrire un mal, il faut se donner les moyens de réussir sans perdre de vue le but
que l’on poursuit : c’est-à-dire la réussite de l’élève. Mais là encore, le mot réussite doit être pris dans un cadre plus large que trop souvent l’école a du mal à accepter. En tant qu’enseignante, ce que nous nous refusons à faire c’est une déculturation des élèves car elle a, à moyen ou long terme des effets néfastes sur l’apprenant. C’est cet équilibre entre l’apprentissage à la française et la préservation des traits culturels, du patrimoine commun qu’il faut savoir maintenir et respecter pour transmettre un savoir profitable dans le respect des programmes (permettant la réussite aux examens et concours) et de l’identité de l’élève (garante de son équilibre social et psychologique). La société dans laquelle nous vivons, que nous soyons des départements d’outre-mer ou des autres collectivités, nous incite à une course aux diplômes présentée comme moyen d’ascension sociale, moyen de trouver un emploi, moyen de vivre ou de survivre. C’est donc un cycle auquel on peut difficilement échapper si l’on ne veut pas se retrouver en marge de cette société préétablie et souvent imposée depuis la colonisation. Que faire d’autre ? Travailler la terre, les champs ? Même pour cela, les diplômes deviennent nécessaires alors il faut essayer de joindre l’indispensable à l’identité et à l’ouverture.

Le Mwaka, Nouméa

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 A paraître plus tard: Saga's

 

Saga's, mon dernier "bébé"  raconte l'histoire de deux familles sur plusieurs générations: une venant des savanes africaines, l'autre fuyant la Révolution française. Des destins qui se heurtent et se croisent à travers le temps et l'histoire.

 

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Roman: Si le jour se lève

Si le jour se lève est le récit d’une enfance blessée sous le soleil de la Martinique et de la Guadeloupe, qui est surmontée au fil des ans. En dépit des épreuves morales, le personnage se reconstruit autour d’un amour infini. Thalie puise sa force dans sa souffrance, celle qu’elle nie et affronte, dans sa colère, celle qu’elle a éprouvée, impuissante face à ses beaux-pères, dans son désir du néant dont elle triomphe à la fin.

Cette œuvre est le récit d’une victoire sur soi, d’une victoire de l’amour et de la vie.

La société antillaise, la mentalité antillaise et l’histoire des Antilles y sont présentées avec réalisme et constituent le décor dans lequel évolue Thalie. Si le jour se lève, est, au début du roman, un doute d’enfants effrayés et devient, au fur et à mesure que le personnage grandit, un vœu puis une certitude.

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Poésie: Ames océanes

Recueil de poèmes

« Ames Océanes » semble voguer d’île accorte en exil intérieur. Tout en contrastes, les poèmes sont nostalgiques ou enjoués, parlent de la solitude et de la mort, mais aussi de l’oubli apporté par le temps ou le bouleversement d’une rencontre, permettant la renaissance à soi. Ils s’attardent enfin sur l’urgence de l’inspiration, quand une vie est toute imprégnée de mots, trempés dans l’encre de la mémoire ou du chagrin. L’auteur est la lauréate de nombreux concours littéraires en France métropolitaine, aux USA, à la Guadeloupe.

Disponible chez Amazon.fr

 

Théâtre: Au Prix de la mort

Pour bien comprendre cette tragédie, il faut avoir quelques notions de l’histoire des Antilles. Cette pièce met en scène Delgrès (1772-1802) lors de sa révolte contre l’esclavage qui s’achève par un suicide collectif.

En 1802, le Premier Consul s’apprête à rétablir l’esclavage aux Antilles qui avait été aboli huit ans plus tôt par la Convention. Il y envoie toute une escadre commandée par le Général Richepance. Comprenant la menace qui pèse sur la liberté des noirs, Delgrès refuse de se soumettre. Après une résistance vaine face à un ennemi mieux armé et en plus grand nombre, Delgrès et ses hommes préférant mourir, au nom de la liberté, que redevenir esclaves, font sauter leur place assiégée, se donnant la mort et la liberté du même coup.

Cette mort dramatique de Delgrès, d’hommes et de femmes refusant l’esclavage, survenue le 28 mai 1802 est devenue le symbole de tout un peuple.

Je relate, ici, les actions, les pensées, bien entendu, fictives (mais basées sur des faits réels et historiques), des dernières vingt-quatre heures du héros noir. Cette pièce montre Delgrès sous un aspect plus humain que celui qu’on décrit souvent. Tarant est mon personnage fictif, ajouté à cette histoire de la Guadeloupe, me permettant une plus grande liberté d’écriture.

 

 

 

 

Pour une théorie de la réception communo-culturelle de la lecture

Essai: Pour une théorie de la réception de la lecture

Les élèves réagissent spontanément en fonction d’un passé culturel, social, et historique, d’un patrimoine culturel partagé par une majorité de l’ensemble classe. Par exemple, lorsque la nature rend un dernier hommage à Atala ou que les Cieux se déchainent pour rappeler à la jeune fille le serment fait à la vierge, les élèves de la Guadeloupe et de la Polynésie acceptent cette intervention surnaturelle.

Disponible dans les libriaries, sur Amazon.fr

 et sur L'Harmattan.fr

 

Toutiraso, le pays où l'on ne sourit plus

Toutiraso ou le pays où l’on ne sourit plus. Il s’agit d’un dialogue fictif entre Toutiraso (nom tahitien de Bougainville) et Lector, un personnage contemporain. Son intérêt réside surtout dans les parallèles qu’il cherche à établir entre l'Histoire passée (depuis la découverte) et celle contemporaine de la Polynésie et plus particulièrement de Tahiti. Essai fictif, genre novateur, qui unit le documentaire et la fiction. Les deux hommes comparent l’histoire, la société de la Polynésie de leur époque réciproque. Cet ouvrage retrace les événements politiques qui agitent la Polynésie depuis 2004, tout en évoquant la découverte de la Nouvelle Cythère.

Ni vraiment roman ni vraiment essai, me dira-t-on, mais le propre de l’art est de sortir des sentiers battus, d’innover, de déranger. Pourquoi toujours s’enfermer dans des cadres précis, dans des normes préétablies ? C’est ainsi que je voulais m’exprimer, mêlant fiction et documentaire, Réel et Imaginaire tout comme le pays dont il est question.

Disponible chez Amazon.fr et dans diverses librairies. 

 

 

 Les Flammes du Passé, roman

 

Alana vit à Courbevoie lorsqu’elle hérite d’une case d’esclaves à la Guadeloupe.

Une histoire d’amour sur fond de bruits de chaînes et de surnaturel.

L’histoire, la société guadeloupéenne, le passé, le présent et l’amour sont un véritable cocktail exotique que

deux personnages amoureux envers et contre tout boivent jusqu’à la lie. Comment croire en 2011, que les

esprits des morts se manifestent encore? Comment imaginer que deux êtres que le passé colonial sépare

puissent trouver l’amour et vaincre les atavismes? Le feu purificateur emplit les âmes et brûle les pages du

roman. "J’ai choisi un style léger pour traiter de sujets pesants comme l’esclavage, le malaise social, le

surnaturel et la religion. "

"Lire Les Flammes du Passé est un agréable moment d’instruction et d’évasion".

Lire les premières pages ici.

 

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liens

christine-lara.e-monsite.com

Christine LARA, romancière

Christine LARA écrit depuis l’âge de huit ans. «Petits poèmes d’enfant» comme elle se plaît à dire. Elle a remporté divers prix littéraires pour ses poèmes, à Nice, à la Guadeloupe, aux États-Unis, à Paris.

Christine Lara a enseigné le théâtre et la danse pendant plusieurs années. Docteur en sciences de l’éducation et chercheur en littérature et didactique, elle enseigne en lycée, à Bordeaux.

Christine LARA a publié trois manuels de français (co-auteur) chez Hachette Paris et un recueil de poèmes «Ames Océanes» disponibles chez les libraires et sur Internet. Elle écrit aussi bien des romans que des essais, du théâtre ou de la poésie. Issue d’une famille d’auteurs, elle se plie à son héritage avec bonheur. Décrite dans la presse comme «entre rires et chagrins», elle est à la fois, l’artiste, la poétesse des nuées et le professeur de lettres. Ses ouvrages sont remplis d’une certaine tristesse qui en fait la beauté et ajoute au charme de son style particulier, entre romantisme et réalisme

Commentaires

  • Christine LARA
    • 1. Christine LARA Le 19/01/2011
    Bonjour Phil,
    Il n'y a aucun problème. De quel ouvrage parles-tu? Réception de la lecture ou Toutiraso où j'évoque ton ami Bougainville?
    A bientôt.
  • prudhomme
    Salut Christine, depuis notre rencontre au DNB de Mahina
    en 1993 ou ???
    j'ai pris ma retraite à Papeete et me consacre à Bougainville comme tu le vérifieras sur mon site. J'espère te lire bientôt et te souhaite une bonne et heureuse année.M'autorises tu à citer ton essai sur notre site?
    NB/J'ai gardé un très bon souvenir de toi,sincèrement
    Phil

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